Without Love where would you be Now nananaaaaaa

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En ce moment The Long Blondes en boucle entre mes oreilles. J’adore. Ce côté Wock’n Woll de meuf attitude. Pas le temps d’être mélancolique avec cette musique.
Donc donc donc.
J’ai décidé de me sociabiliser. J’ai fait un rapide bilan et me suis aperçue que si je continuais à faire l’ourse et à tisser ma toile sur le net plus que dans la vraie vie, et ben j’allais finir vieille et obèse.
Tous mes week-ends sont bouclés jusqu’en décembre : concerts, bouquins, voyages, avant-premières, expos et j’en passe et des meilleurs…
Je me suis même inscrite sur un site onvasortirtamèredumonoprix (ceci est un fake name, trop facile de retrouver le véritable intitulé)
Bon, comme je l’ai dit à la Rousse, je veux bien m’ouvrir, élargir mes perspectives, arrêter de cataloguer à tout va et cesser de faire ma snob difficile, tu ne me feras pas aller à un rdv pizza autour d’un karaoké et boire de la bière sous prétexte que je dois rencontrer des gens….
Les bonnes résolutions de la rentrée vont avec le reste : je vais enfin m’inscrire à un cours de danse orientale, depuis le temps… ça et la gym que j’ai reprise la semaine dernière plus quelques séances de yoga, je devrais atteindre l’objectif visé pour mes 40 ans : un esprit sain dans un corps sain… (hum, hein, quoi ? t’as dit quelque chose, did you fuck my wife ???!!???)
(Je sais être drôle)
C’est fini de pleurer en regardant « Broken English », fini d’attendre que ça me tombe dessus (oh oui) : je pars en croisade contre la monotonie, le face à moi même, « je me fais chier, qu’est ce que j’ai fait pour mériter ça, vie de merde ».
Maintenant, hein, c’est comme pour le nouvel an, il ne suffit pas d’être pétri de bonnes intentions, faut assurer derrière….
Bonne soirée

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