Dans la peau de Pippa Lee

J'aime bien le mardi car je commence tôt le travail que je finis en début d'après midi. Je me suis arrangée pour qu'une maman récupère ma fillemabataille à la sortie des classes pour avoir jusqu'à 18h30 avant d'aller la chercher à son cours de dessin.
En général s'il fait beau, je prends de la lecture et mon chien en bout de laisse et je pars à la terrasse d'un café. Mais depuis que le ciel est moins clément mon grand plaisir est de rentrer chez moi, de mettre une tenue confortable, de ranger deux trois trucs histoire d'avoir la conscience tranquille et de me vautrer sur/dans mon lit (sous le regard de mon chien, dégouté)

Hier, je me suis fait une séance home cinéma avec The Private Lives Of Pippa Lee. Pas pour Keanu, Monica, Julianne ou Winona ou encore pour voir sur grand écran l'héroïne de Gossip Girl, Balke Lively. J'ai vraiment apprécié l'interprétation de la mère par Maria Bello, qui perd pied et sombre dans la folie (de plus le personnage porte le prénom de Suky qui m'a ramené à True Blood, fin de la parenthèse)
Je voulais voir ce film pour Robin Wright Penn. J'adore cette femme. Santa Barbara!! elle a commencé par cette mythique série et cette fille au visage rond que donne la jeunesse a eut le don de m'énerver à l'époque. C'est son rôle dans Princess Bride qui m'a fait changé d'opinion. Puis Forrest Gump où elle joue une femme libérée qui le payera de sa vie. Mais le film qui me marque le plus dans sa carrière est She's so lovely où elle joue au côté de ex époux le beau, l'irrésistible Sean Penn.
Élevée par une mère hystérique et après un temps de drogues et d'errance où elle se retourve muse d'artistes en devenir, elle est prise en main par un homme cultivé et plus âgé. Nous la retrouvons à l'aube de ses cinquante ans. Dieu que cette femme est belle, dieu que je la respecte pour n'avoir pas succombé aux joies du botox. Son jeu est tout en finesse comme son physique marqué par les années et encore à peine... L'histoire d'une femme dont les enfants sont adultes, dont le mari peut mourir d'un instant à l'autre et qui, malgré elle, fait le bilan de son parcours et pense à son avenir. Justesse et espoir, voilà ce que je retiens de ce film...
Je l'ai retrouvé dans Le Drôle de Noël de Mr Scrooge, mais c'est une autre histoire.
Pour terminer ma journée j'ai laissé seule à la maison ma Chose, pour la première fois, afin de me rendre au concert de WAX TAILOR. Nous avons pu découvrir Dr Flake en première partie.

Le concert fut à la hauteur de la réputation de Wax Tailor, un bel hommage au Hip Hop en prime "Y a t il des B Boys à dans la salle??" et bien, heu, non pas à Marseille en tous les cas.
Deux petits tours et je m'en vais après mon actu du moment:
une visite s'impose sur le site de Wonderwall qui nous présente des boutiques plus démentes les unes que les autres, de celles pour qui je prendrais fissa un billet afin de me rendre dans chaque pays où elles se trouvent... sur EBay où je vends des escarpins (j'en profite). Je suis chagrinée car je vais rater Marva Withney au cabaret aléatoire jeudi, bouh...Commandez vos greeting cards pour Nowell, et allez voir des clips réalisés par le collectif Fluorescent Hill!!
Sur ce, shousss, et n'oubliez pas, mercredi c'est ravioli!!